Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.
Je regarde très souvent le ciel, en marchant, en attendant l’autobus, en regardant par la fenêtre au bureau, etc.
Le matin tôt, avant que le soleil ne se pointe, il m’est difficile de voir les étoiles à cause de la pollution lumineuse. Ce qui m’a fait penser que souvent ce qui est artificiel, quoi que souvent pratique, nous empêche de savourer ce qui est naturel. Ici je parle du ciel, mais mes dires peuvent se conjuguer à presque toutes les sauces.
Bon, revenons à mon ciel.
Je ne sors pas souvent de la ville, et la dernière fois que j’ai vu le ciel étoilé avec moins de pollution lumineuse, avant la pandémie, j’en étais étourdie de voir un si beau ciel. (Je ne comprend pas le monde qui ne regarde pas au-dessus de leur tête).
(Mon fil d’idées vient d’être interrompu par une dispute au sujet de sièges dans l’autobus, merci à la dame qui s’est assise entre les 2 protagonistes, pour y mettre fin, tel une mère séparant 2 enfants, qui dans ce cas-ci sont adultes)
Bon, revenons à mon ciel. (Encore)
Je pourrais m’étendre au sol et regarder le ciel pendant des heures, même étendue sur du gravier (fait vécu).
Simplement Mau

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