Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.
Habitant un 2 ième étage, et n’ayant pas de voisins directement à ma porte patio du salon, je me permet de ne pas avoir de rideaux ou autres. Une belle vue céleste se présente à moi tous les jours, beau temps ou mauvais temps.
Ce matin je me disais que dernièrement on voyait le ciel souvent teinté de rose. Matin ou soir. Ce matin était le cas. En mettant mes chaussures je me posais la question à savoir si je voyais le ciel rose, était ma tentative inconsciente de voir la vie sous un meilleur jour, avec tous ces décès dans mon entourage, même si ma philosophie est « quand c’est ton temps de partir, c’est ton temps « .
En sortant dehors, une image magnifique de la lune dans ce ciel rosé, que j’ai tenté de capter. Un restant de pleine lune…
Pour contrecarrer ces moments bulles roses, en sortant du wagon de métro, je comprends pas pourquoi il y a toujours des tarlas qui te poussent presque pour entrer, au lieu de te laisser sortir en premier. Je dois m’excuser (d’un ton sec et sarcastique) pour sortir. Je me demande si ce n’est pas dû à mon champ éthérique qui a une vibration trop élevée pour être perçu par les moldus, ou si par protection je ne garde ce champ que trop collé à moi. Car ce n’es pas plaisant de se ramasser avec des bibittes dans notre aura. En marchant le couloir pour sortir à l’extérieur, une vague de monde à sens inverse s’approche presqu’au pas de course. Je me dis « advienne que pourra », je décide d’élargir mon aura en bouclier (question de ne pas me faire rentrer dedans), et comme un banc de poissons, à mon approche cette vague humaine se tasse de manière fluide. Sur mon visage, un sourire en coin en guise de victoire.
Namasté
Simplement Mau

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