J’ai décidé de vous emporter avec moi dans mon aventure. Cet article ainsi que les prochains seront des extraits d’une possible autobiographie.
J’ai lu quelque part: « Si tu ne trouves aucun livre intéressant à ton goût, tu devrais en écrire un toi-même. » Ou encore: « Gâtes-toi comme tu aimerais qu’on te gâte. » On peut aussi ajouter: « Aimes-toi comme tu voudrais être aimé. » Je pourrais en rajouter, mais je crois que vous comprenez l’idée.
Pour vous mettre en situation, je vais commencer les présentations. Je suis une femme, avec les 2 pieds dans la cinquantaine (on peut rajouter un bras, même si la tête et le coeur ne sont pas rendu là). Je suis de la « GenX team », et je l’assume.
J’ai souvent souhaité me prendre un coach, de vie, d’entraînement physique, d’entrepreneure, de nutrition, etc. Mais mon petit côté rebelle m’empêche de suivre qui que ce soit sur une longue période, incluant les guides et les gourous spirituel. Ensuite je me plaint que ceux et celles qui me demandent conseils, ne les suivent pas. Ah! Karma, quand tu nous reviens !
Je suis heureuse de voir qu’il y a des personnes qui percent dans le domaine du « coaching », et qui aident les autres pour devenir une meilleure version d’eux-mêmes. Et j’envie ceux qui sont capables de les suivre.
J’ai de la difficulté avec les énergies trop époustouflantes qui semblent parfois trop « boostées » artificiellement. Oui j’avoue, ce n’est pas gentil de ma part de porter un tel jugement, n’empêche que c’est ce que je ressens. Mea culpa de n’être qu’un être humain. Mon but n’est pas de salir qui que ce soit, car ces personnes travaillent fort dans leur domaine. Si elles n’étaient pas si « hyper » , leur entreprise ne fonctionnerait sûrement pas. Un autre moule dans lequel je n’arrive pas à rentrer.
Je refuse de croire que je suis la seule à être aussi tête dure. Vouloir accomplir des trucs, oui, mais à mon rythme. Avoir des « cheerleaders », mais sans trop me faire pousser dans le derrière. À mon avis, la vie fait en sorte qu’il y a très souvent des détails qu’on doit prendre en compte, le côté humain des imprévus et des états d’âmes. Oui on doit se dépasser, mais sans se perdre de vue non plus.
À suivre…
(Pour vous éviter à avoir de trop longs textes à lire d’un coup, il y aura plusieurs parties)
Le blog de Mau 
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