Pensée du 28 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Aussi sédentaire que l’on puisse être   et stagnante notre vie puisse paraître,  rien n’arrête vraiment cette expérience temporelle linéaire. Il se trouve toujours des développements çà et là, de près ou de loin. Le nombre de décès (car oui, la mort fait partie de la vie) mais des déménagements. Deux de mes proches ont entamé un changement de cap ce week-end.

Dans une autre suite d’idées, c’est quoi cette décision de foutre du chauffage dans l’autobus quand la température se trouve au-dessus de 0, oui c’est frais, mais nous portons nos manteaux ! De grâce, attendez qu’il fasse -20 celsius!

Grisaille d’un lundi matin, gardons le soleil dans nos coeurs et un sourire à nos regards (je dirais bien « à nos lèvres », mais avouons que c’est étrange une personne marchant seule sur le trottoir avec « la gueule fendue jusqu’aux oreilles », par contre, si vous ressentez un débordement de sourire, faites-le sans gêne!)

Bonne semaine
Simplement Mau

Brin d’herbe qui continue de tenir bon en ce 28 novembre

Pensée du 21 novembre 2022

Pensée bulle personnelle au coin de ma table de cuisine avec un café.

On a beau avoir le dos large, s’en mettre beaucoup sur le dos, n’empêche qu’un dos, aussi solide soit-il, c’est fragile.

Lorsque des mouvements d’apparence anodines peuvent te clouer, ou restreindre nos déplacements,  tu ris de la situation, sans en rire. Le dos,  un de ces mal aimés (car les pieds aussi embarquent dans cette catégorie) n’existe pas pour l’apparence mais pour une fonction de solidité. Le corps entier est important finalement. Parlez-en à ceux qui, avec le temps, ont des problèmes de « bolide ». Rien n’est acquis. On l’oublie trop facilement,  trop rapidement.

Ce n’est pas pour rien que dans bien des livres saints, on parle du corps comme d’un temple sacré.

Simplement Mau

Un de mes sons préféré

Pensée du 19 novembre 2022

Pensée bulle personnelle au coin de ma table de cuisine avec un café, en ce samedi matin.

Aujourd’hui j’ai juste envie de vous partager un truc qui me passe par la tête à chaque fois que je prends le métro à la station Henri-Bourrassa. Cette image me fascine. Ignorant si c’est le fruit du hasard que le ciment ce soit coloré ainsi (tout est possible,  mais j’en doute), ou l’oeuvre d’un artiste incognito, ou quelqu’un qui voulait se rendre à Poudlard (Harry Poter) et a manqué son coup. Quoiqu’il en soit,  j’aime beaucoup.

Nul besoin de vulgarité pour être apprécié, la créativité apporte notre propre imagination et nous permet un échappatoire éphémère mais tout comme ouvrir une fenêtre pendant les gros froids d’hiver, pour aérer une pièce trop longuement fermée, un rafraîchissement léger. Surtout après une grosse journée de travail ou quand tu découvres qu’une de tes connaissances ici, est sur une liste de personnes à liquider d’un autre pays, et que tu te demandes dans quel genre de monde tu vis. Oui la créativité rafraîchit l’âme le temps d’un moment.

Bonne vie
Simplement Mau

Oeuvre d’un quai de la station de métro Henri-bourassa

Pensée du 18 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Je suis de celles qui fait tout pour accepter le fait qu’avec l’âge on devrait s’accepter. Les rides ou ridules. En plus de ne pas être prête à faire le hamster 2 heures par jour au gym. (Expression volée d’une connaissance). Pour les personnes qui le font je vous lève mon chapeau. Je ne cherche pas à cacher mon âge mais je m’aperçois que je fuis mes propres selfies. Ah je mets mes crèmes hydratantes, mais pas nécessairement pour cacher les traces de rires de mon visage. Ça part mal être conseillère beauté dans ce temps là. Je ne teint pas mes cheveux,  ni faux ongles ni faux rien. Il y a des jours qu’inconsciement je sens la pression. J’ai pu 30 ans et blablabla.

Quoiqu’il en soit, on avance tous sur cette ligne temporelle, donc à quoi bon s’accrocher à l’éphémérité du paraître? Pour soi? Pour l’acceptation des autres?
De toute façon ils trouveront toujours quelque chose à critiquer.

Avec tout ça, j’ai failli rater ma station de métro.

On dit d’aimer les autres comme soi-même,  mais si les gens ne s’aiment pas eux-mêmes,  il ne faut pas se demander pourquoi il y a tant de haine dans notre société.

Il est impossible d’aimer tout le monde certes, mais le respect n’est pas si compliqué… il me semble.

En tout cas.

« Dans l’amour et la lumière »
Simplement Mau

Grosse poésie d’un coin de table

Pensée du 17 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

La neige d’hier qui a « slushé » et avec le gel de cette nuit, sur les trottoirs mal déneigés, ça fait des « mottons » de glace. Qui dit glace, dit glissant. Qui dit glissant dit « watch bin comment tu poses ton pied à terre parce que ça peut partir rapidement « .

Depuis la fois que je suis tombée par derrière,  me frappant la tête au sol en entendant un « crac », sombrant dans l’inconscience sur une rue sombre et mal éclairée, presque pas de piétons,  pour me « réveiller » en sursaut car mon plus jeune âgé d’environ 7 ans était avec moi et m’appelait,  et de savoir mon plus vieux,  pas beaucoup plus âgé,  nous attendait seul à la maison. En tant que mère monoparentale, tout tourne toujours autour des enfants.

Alors oui, j’ai toujours cette crainte, cette hantise de tomber, malgré que mes jeunes sont maintenant adultes.

Mais j’adore la neige,  c’est la glace sur les trottoirs que j’aime moins.

Malgré tout,  on se dirige une fois de plus vers Noël. (Oui je vais vous achaler avec ça,  juste parce que ça me tente de vous taquiner ainsi.  Soyez heureux que je ne vous casse pas les oreilles avec les cantiques!)

Ne faites pas de faux pas en me disant « faut pas ».

Bon début d’hiver officiellement commencé !

Simplement Mau

Si tous les trottoirs étaient toujours aussi beaux

Pensée du 16 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Avancer d’un pas non-assuré,
Sur ce sol fraichement blanchi
Sentir subtilement glisser
Le sol fragilisant un brin nos pieds.

La beauté de cette descente floconneuse
Une douceur visuelle et silencieuse
Malgré un questionnement qui se pointe :
Pourquoi diantre ai-je perdu de mon temps
À me coiffer le toupet
S’il ne reste pas
Sous le capuchon.

Let it snow
Simplement Mau

Un matin blanc

Pensée du 15 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Tremblement de terre.
Frissons parcourant l’échine
La mienne ou la sienne
Certains nous embobinent de fausses vérités
D’autres croient la détenir fermement
Notre éternelle course contre le temps
À contre courant
Ne prouve que notre éphémérité
Faire partie de la chaîne alimentaire
« All-in » ment taire
Alignement Terre
Vivre au jour le jour
En s’inquiétant pour demain
En « crashant » sur notre hier

Poétiquement vôtre
Simplement Mau

Petits gâteaux offerts par une collègue pour mon livre Quantum Terra, Quantum terrae. N’en faire qu’une bouchée.

Pensée du 14 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Je crois être à la veille d’appeler mes articles « cher journal » (les plus vieux comprendront… peut-être)

Écrire tous les jours est un défi personnel,  même si je ne partage pas tout, en détail. En plus de prendre conscience de mes pensées,  ça m’amuse et me tient occupé pendant mon réveil (car même sortie du lit, le processus mental n’est pas complet… j’aime pas courir même dans ma tête,  ça va déjà assez vite comme ça)

Une chanson me trotte en tête,  en boucle (non, pas ma tête qui est en boucle). J’ai tenté de me convaincre de vous faire une vidéo de la partie de cette chanson,  mais je n’ai pas été assez convaincante.

Alors je vous laisse le lien, vous me remercirez plus tard.

Bon lundi
Simplement Mau

Pensée du 13 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon café du matin dans mon salon.

La vie est un éternel recommencement. Les semaines du dimanche au samedi, et les années, en passant de janvier à décembre. Le ménage toujours à refaire. Les repas  et laver la vaisselle. Certains diront qu’on n’a qu’à prendre le contrôle. Mais à chaque fois que je crois être enlignée, l’univers me fait signe « non non, j’ai autre chose pour toi. » Des fois c’est le but qui doit changer,  des fois juste la trajectoire. C’est toujours pour le mieux  mais pas toujours instantanément. Ma leçon de vie à apprendre : la patience. Bordel.

Je n’aime pas stagner, mais je n’aime pas non plus tourner en rond. Est-ce dû à mes remises en questions constantes, où parce que ma mission de vie est ailleurs ? Ah oui… patience.

L’élan sociétaire est de ramasser full diplômes,  partir en affaires,  devenir coach de coach de vie… savons-nous vraiment ce qu’est vivre? Notre raison d’être ? Mais vraiment vraiment ?

Notre but ne serait-il pas de revenir aux sources, à la source? J’ai tellement d’intérêts diversifiés, de projets par simple curiosité… dois-je apprendre à juste ne pas me laisser distraire et à juste me focusser sur moi… ma patience?

Namasté
Simplement Mau

Tant qu’à tourner en, aussi bien le faire en beauté

Pensée du 12 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon café du matin dans mon salon.

Est-ce que ça existe du monde qui n’écoute qu’un style de musique?

Généralement, dans le temps que j’écrivais mes textes poétiques ou même mon roman,  ou tout ce qui a rapport avec ma tête j’écoutais du classique. Je ne m’y connais pas du tout,  mais ça ne m’empêche pas de savourer. Si je me sens dépassée j’aime le côté guerrier de la musique « vicking » ( Wardruna, pour ne nommer que celui-ci), pour le ménage j’aime ce qu’on appelait dans les années 80’s le « dance » (car effectivement je danse en faisant mon ménage,  des fois ça m’aide à accélérer la cadence,  mais souvent ça ne m’aide pas du tout car je me replonge dans mes souvenirs de ballet jazz, et je m’improvise des chorégraphies).

Dernièrement je me surprend d’écouter du jazz, ou toute musique jazzy. J’ai l’impression de me mettre inconsciemment dans l’esprit des fêtes (même si c’est juste dans un mois et demi). Depuis mon enfance le jazz est associé au temps des fêtes. J’entends quelqu’un dans le fond de la salle se demander mentalement « c’est quoi le rapport? »

La musique de Noël jazzy qu’on entendais en allant magasiner (je dis « entendait » car je ne vais plus vraiment magasiner depuis presque 3 ans…) ou encore, aller dans un resto à ce moment de l’année (autre qu’un McDo). Ou encore, dans un « party de bureaux », à notre arrivée avant le repas et le moment qu’on puisse danser. Le jazz représente tout ça pour moi.

Lorsque j’étais encore avec ma mère,  notre musique de ce temps de l’année était surtout avec l’album de Noël de Mahalia Jackson, plutôt blues que jazz, mais pour moi c’était dans la même branche. (Cherchez-la sur YouTube,  cette voix pogne dans les trippes).

Au moment de la rédaction de ce texte je m’apprête à écouter ma « play list dance », ménage oblige, mais pour le moment je suis sur une chaîne de jazz en direct. Je me demande si cette année je serai plus dans un « mood » festif au moment opportun.

Bonne fin d’année 2022
Simplement Mau

Souvenir d’un moment

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