Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.
Avancer d’un pas non-assuré, Sur ce sol fraichement blanchi Sentir subtilement glisser Le sol fragilisant un brin nos pieds.
La beauté de cette descente floconneuse Une douceur visuelle et silencieuse Malgré un questionnement qui se pointe : Pourquoi diantre ai-je perdu de mon temps À me coiffer le toupet S’il ne reste pas Sous le capuchon.
Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.
Tremblement de terre. Frissons parcourant l’échine La mienne ou la sienne Certains nous embobinent de fausses vérités D’autres croient la détenir fermement Notre éternelle course contre le temps À contre courant Ne prouve que notre éphémérité Faire partie de la chaîne alimentaire « All-in » ment taire Alignement Terre Vivre au jour le jour En s’inquiétant pour demain En « crashant » sur notre hier
Poétiquement vôtre Simplement Mau
Petits gâteaux offerts par une collègue pour mon livre Quantum Terra, Quantum terrae. N’en faire qu’une bouchée.
Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.
Je crois être à la veille d’appeler mes articles « cher journal » (les plus vieux comprendront… peut-être)
Écrire tous les jours est un défi personnel, même si je ne partage pas tout, en détail. En plus de prendre conscience de mes pensées, ça m’amuse et me tient occupé pendant mon réveil (car même sortie du lit, le processus mental n’est pas complet… j’aime pas courir même dans ma tête, ça va déjà assez vite comme ça)
Une chanson me trotte en tête, en boucle (non, pas ma tête qui est en boucle). J’ai tenté de me convaincre de vous faire une vidéo de la partie de cette chanson, mais je n’ai pas été assez convaincante.
Alors je vous laisse le lien, vous me remercirez plus tard.
Pensée bulle personnelle pendant mon café du matin dans mon salon.
La vie est un éternel recommencement. Les semaines du dimanche au samedi, et les années, en passant de janvier à décembre. Le ménage toujours à refaire. Les repas et laver la vaisselle. Certains diront qu’on n’a qu’à prendre le contrôle. Mais à chaque fois que je crois être enlignée, l’univers me fait signe « non non, j’ai autre chose pour toi. » Des fois c’est le but qui doit changer, des fois juste la trajectoire. C’est toujours pour le mieux mais pas toujours instantanément. Ma leçon de vie à apprendre : la patience. Bordel.
Je n’aime pas stagner, mais je n’aime pas non plus tourner en rond. Est-ce dû à mes remises en questions constantes, où parce que ma mission de vie est ailleurs ? Ah oui… patience.
L’élan sociétaire est de ramasser full diplômes, partir en affaires, devenir coach de coach de vie… savons-nous vraiment ce qu’est vivre? Notre raison d’être ? Mais vraiment vraiment ?
Notre but ne serait-il pas de revenir aux sources, à la source? J’ai tellement d’intérêts diversifiés, de projets par simple curiosité… dois-je apprendre à juste ne pas me laisser distraire et à juste me focusser sur moi… ma patience?
Namasté Simplement Mau
Tant qu’à tourner en, aussi bien le faire en beauté
Pensée bulle personnelle pendant mon café du matin dans mon salon.
Est-ce que ça existe du monde qui n’écoute qu’un style de musique?
Généralement, dans le temps que j’écrivais mes textes poétiques ou même mon roman, ou tout ce qui a rapport avec ma tête j’écoutais du classique. Je ne m’y connais pas du tout, mais ça ne m’empêche pas de savourer. Si je me sens dépassée j’aime le côté guerrier de la musique « vicking » ( Wardruna, pour ne nommer que celui-ci), pour le ménage j’aime ce qu’on appelait dans les années 80’s le « dance » (car effectivement je danse en faisant mon ménage, des fois ça m’aide à accélérer la cadence, mais souvent ça ne m’aide pas du tout car je me replonge dans mes souvenirs de ballet jazz, et je m’improvise des chorégraphies).
Dernièrement je me surprend d’écouter du jazz, ou toute musique jazzy. J’ai l’impression de me mettre inconsciemment dans l’esprit des fêtes (même si c’est juste dans un mois et demi). Depuis mon enfance le jazz est associé au temps des fêtes. J’entends quelqu’un dans le fond de la salle se demander mentalement « c’est quoi le rapport? »
La musique de Noël jazzy qu’on entendais en allant magasiner (je dis « entendait » car je ne vais plus vraiment magasiner depuis presque 3 ans…) ou encore, aller dans un resto à ce moment de l’année (autre qu’un McDo). Ou encore, dans un « party de bureaux », à notre arrivée avant le repas et le moment qu’on puisse danser. Le jazz représente tout ça pour moi.
Lorsque j’étais encore avec ma mère, notre musique de ce temps de l’année était surtout avec l’album de Noël de Mahalia Jackson, plutôt blues que jazz, mais pour moi c’était dans la même branche. (Cherchez-la sur YouTube, cette voix pogne dans les trippes).
Au moment de la rédaction de ce texte je m’apprête à écouter ma « play list dance », ménage oblige, mais pour le moment je suis sur une chaîne de jazz en direct. Je me demande si cette année je serai plus dans un « mood » festif au moment opportun.
Pensée bulle personnelle au coin de ma table de cuisine avec un café, car pas besoin de prendre le bus puisque je travaille de la maison.
On admire ceux qui réussissent matériellement. Grosse maison, gros char, gros compte de banque. On admire rarement ceux qui vivent simplement en étant en paix avec eux-mêmes.
On admire ceux qui se tuent au travail. Il y en a qui ont trouvé une vraie passion et ne vivent que pour elle. Mais il y a ceux dont leur seul passion est l’argent, peu importe le niveau d’honnêteté ou de justice morale.
Il y a ceux aussi dont le travail est un échappatoire presqu’au même titre que les drogues. Mais il y a ceux qui n’ont pas le choix et pour eux c’est une vraie torture mentale. Chercher la paix intérieure et le bonheur quand on se torture 8 heures et plus par jour pour pouvoir se loger et se nourrir, Ah! La belle vie quoi!
Tout est dans la perception qu’on décide d’avoir. Ce n’est pas toujours évident. « Il faut travailler. Se rendre utile pour la société. » Mais est-ce que tous les emplois sont vraiment utiles ? A-t-on vraiment besoin de pacotilles ? De l’appareil électronique ultra performant pour la vie de tous les jours ? Des appareils et applications qui pensent à notre place? Car la paresse mentale est de plus en plus palpable. Sans compter les divertissements vides et rapides, les contenus sans profondeurs… souvent tu n’as qu’à répéter une phrase d’allure spirituelle et plein de gens diront « cette personne est si profonde »… quand en réalité elle n’aura qu’effleurer la surface.
Je terminerai en citant un truc que j’ai lu il y a un moment (j’ignore de qui ça vient): « l’espèce humaine est la seule espèce qui doit payer pour vivre ».
Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.
Habitant un 2 ième étage, et n’ayant pas de voisins directement à ma porte patio du salon, je me permet de ne pas avoir de rideaux ou autres. Une belle vue céleste se présente à moi tous les jours, beau temps ou mauvais temps.
Ce matin je me disais que dernièrement on voyait le ciel souvent teinté de rose. Matin ou soir. Ce matin était le cas. En mettant mes chaussures je me posais la question à savoir si je voyais le ciel rose, était ma tentative inconsciente de voir la vie sous un meilleur jour, avec tous ces décès dans mon entourage, même si ma philosophie est « quand c’est ton temps de partir, c’est ton temps « .
En sortant dehors, une image magnifique de la lune dans ce ciel rosé, que j’ai tenté de capter. Un restant de pleine lune…
Pour contrecarrer ces moments bulles roses, en sortant du wagon de métro, je comprends pas pourquoi il y a toujours des tarlas qui te poussent presque pour entrer, au lieu de te laisser sortir en premier. Je dois m’excuser (d’un ton sec et sarcastique) pour sortir. Je me demande si ce n’est pas dû à mon champ éthérique qui a une vibration trop élevée pour être perçu par les moldus, ou si par protection je ne garde ce champ que trop collé à moi. Car ce n’es pas plaisant de se ramasser avec des bibittes dans notre aura. En marchant le couloir pour sortir à l’extérieur, une vague de monde à sens inverse s’approche presqu’au pas de course. Je me dis « advienne que pourra », je décide d’élargir mon aura en bouclier (question de ne pas me faire rentrer dedans), et comme un banc de poissons, à mon approche cette vague humaine se tasse de manière fluide. Sur mon visage, un sourire en coin en guise de victoire.
Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.
Est-ce que la pleine lune vous affecte ? Même si la généralité des gens ne s’y arrête pas vraiment, je dois avouer que je doute souvent, car d’après moi , depuis quelques temps, c’est la pleine lune à l’année longue.
Comment faire pour éviter cette vague énergétique qui affecte la marée sociétaire ? Y a-t-il de la friture sur la fréquence de leur télécommande corporelle?
Envoyer de l’énergie à quelqu’un est une forme de wifi, mais je préfère rester sur mon réseau privé.
Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.
Le changement de saison fait que lorsqu’on quitte la maison entre 6h et 6h30, on doit s’habituer à l’obscurité matinale. Avec le changement d’heure, il fait clair. Donc automatiquement on pense être en retard. Sauf que dans se stress inconscient, on en oublie son laptop du bureau (car on l’apporte à la maison tous les week-ends). Heureusement on s’en est aperçu un coup arrivé au métro. Donc, si on n’était pas vraiment en retard, maintenant on l’est.
Le point positif de cette situation (car en cherchant bien, des fois plus que d’autres, on peut y trouver des points positifs). Je disais donc, que le positif évalué ce matin, est qu’il fait beau, la température pas trop froide, et mon application de comptage de pas sera plus élevé aujourd’hui.
Aujourd’hui j’utilise le service rapide sur Pie IX, on va voir ce que ça donne.