Pensée du 11 novembre 2022

Pensée bulle personnelle au coin de ma table de cuisine avec un café, car pas besoin de prendre le bus puisque je travaille de la maison.

On admire ceux qui réussissent matériellement. Grosse maison, gros char, gros compte de banque. On admire rarement ceux qui vivent simplement en étant en paix avec eux-mêmes.

On admire ceux qui se tuent au travail. Il y en a qui ont trouvé une vraie passion et ne vivent que pour elle. Mais il y a ceux dont leur seul passion est l’argent,  peu importe le niveau d’honnêteté ou de justice morale.

Il y a ceux aussi dont le travail est un échappatoire presqu’au même titre que les drogues. Mais il y a ceux qui n’ont pas le choix et pour eux c’est une vraie torture mentale. Chercher la paix intérieure et le bonheur quand on se torture 8 heures et plus par jour pour pouvoir se loger et se nourrir,  Ah! La belle vie quoi!

Tout est dans la perception qu’on décide d’avoir. Ce n’est pas toujours évident. « Il faut travailler. Se rendre utile pour la société. » Mais est-ce que tous les emplois sont vraiment utiles ? A-t-on vraiment besoin de pacotilles ? De l’appareil électronique ultra performant pour la vie de tous les jours ? Des appareils et applications qui pensent à notre place? Car la paresse mentale est de plus en plus palpable. Sans compter les divertissements vides et rapides, les contenus sans profondeurs… souvent tu n’as qu’à répéter une phrase d’allure spirituelle et plein de gens diront « cette personne est si profonde »… quand en réalité elle n’aura qu’effleurer la surface.

Je terminerai en citant un truc que j’ai lu il y a un moment (j’ignore de qui ça vient): « l’espèce humaine est la seule espèce qui doit payer pour vivre ».

Demain mon texte sera peut-être plus léger.

Simplement Mau

Chemin de vie

Pensée du 10 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Écrire me force à garder le focus plus qu’un centième de seconde sur une pensée,  un ressenti.

Écrire est mettre en mot une visualisation plus ou moins éphémère.

C’est pratique et plus lisible d’écrire sur un appareil électronique,  mais Ô combien plus émotionnel et délivrant le faire à la main.

Simplement Mau

Une plume à la main, à défaut de l’avoir dans les cheveux…

Pensée du 9 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Habitant un 2 ième étage,  et n’ayant pas de voisins directement à ma porte patio du salon, je me permet de ne pas avoir de rideaux ou autres. Une belle vue céleste se présente à moi tous les jours, beau temps ou mauvais temps.

Ce matin je me disais que dernièrement on voyait le ciel souvent teinté de rose. Matin ou soir. Ce matin était le cas. En mettant mes chaussures je me posais la question à savoir si je voyais le ciel rose, était ma tentative inconsciente de voir la vie sous un meilleur jour, avec tous ces décès dans mon entourage,  même si ma philosophie est « quand c’est ton temps de partir, c’est ton temps « .

En sortant dehors, une image magnifique de la lune dans ce ciel rosé, que j’ai tenté de capter. Un restant de pleine lune…

Pour contrecarrer ces moments bulles roses, en sortant du wagon de métro, je comprends pas pourquoi il y a toujours des tarlas qui te poussent presque pour entrer,  au lieu de te laisser sortir en premier.  Je dois m’excuser (d’un ton sec et sarcastique) pour sortir. Je me demande si ce n’est pas dû à mon champ éthérique qui a une vibration trop élevée pour être perçu par les moldus, ou si par protection je ne garde ce champ que trop collé à moi. Car ce n’es pas plaisant de se ramasser avec des bibittes dans notre aura. En marchant le couloir pour sortir à l’extérieur,  une vague de monde à sens inverse s’approche presqu’au pas de course.  Je me dis « advienne que pourra », je décide d’élargir mon aura en bouclier (question de ne pas me faire rentrer dedans), et comme un banc de poissons, à mon approche cette vague humaine se tasse de manière fluide. Sur mon visage,  un sourire en coin en guise de victoire.

Namasté
Simplement Mau

Un (autre) matin de novembre…

Pensée du 8 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Est-ce que la pleine lune vous affecte ? Même si la généralité des gens ne s’y arrête pas vraiment, je dois avouer que je doute souvent, car d’après moi , depuis quelques temps, c’est la pleine lune à l’année longue.

Comment faire pour éviter cette vague énergétique qui affecte la marée sociétaire ? Y a-t-il de la friture sur la fréquence de leur télécommande corporelle?

Envoyer de l’énergie à quelqu’un est une forme de wifi, mais je préfère rester sur mon réseau privé.

Simplement Mau

Ceci est une girafe… bleu… et bio.

Pensée du 7 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Le changement de saison fait que lorsqu’on quitte la maison entre 6h et 6h30, on doit s’habituer à l’obscurité matinale.  Avec le changement d’heure, il fait clair. Donc automatiquement on pense être en retard.  Sauf que dans se stress inconscient,  on en oublie son laptop du bureau (car on l’apporte à la maison tous les week-ends). Heureusement on s’en est aperçu un coup arrivé au métro.  Donc, si on n’était pas vraiment en retard,  maintenant on l’est.

Le point positif de cette situation (car en cherchant bien, des fois plus que d’autres, on peut y trouver des points positifs). Je disais donc, que le positif évalué ce matin, est qu’il fait beau, la température pas trop froide, et mon application de comptage de pas sera plus élevé aujourd’hui.

Aujourd’hui j’utilise le service rapide sur Pie IX, on va voir ce que ça donne.

Simplement Mau

Vive les aventures du lundi matin

Pensée du 6 novembre 2022

Bulle pensée à ma table en dégustant mon café du matin

Le changement d’heure. Mis à part que la majorité des médias nous relatent l’histoire et nous disent comment cela nous affecte (2 fois par année) , pourquoi continuons-nous?

Où se trouve la « cancel culture » pour se rendre utile pour une fois? Car oui, il y a des trucs dans l’histoire de l’humanité qui ne sont pas trop humains, mais j’ai souvent l’impression que leur plaisir est d’effacer des gens, plutôt que de « vraiment » changer le monde pour le mieux.

Ça fait presque un demi siècle que je n’entend que du négatif au sujet du changement d’heure, on devrait trouver le moyen d’arrêter ça.  J’ignore à moi seule comment faire, mais puisque ce n’est qu’une forme de coutume,  on devrait y arriver, non? S’ils ont réussi à confiner le monde entier pendant près de 2 ans, je ne verrais pas ce qui les empêcherait d’abolir ce foutu changement d’heure.

Simplement Mau

Horloge n’ayant pas encore subit sa modification temporelle bisannuelle

Pensée du 5 novembre 2022

Bulle pensée à ma table en dégustant mon second café du matin

Quand nous étions plus jeunes ( genX ne sont pas si vieux, on est encore jeunes, ça dépend des matins), on était heureux d’arriver au week-end. Ça voulait dire grasse matinée ( ou est-ce grâce matinée), sortir avec les ami-e-s, etc. Maintenant on se dit « enfin le week-end  » mais à part de ne pas être à la course pour se préparer pour le travail, on est heureux de quoi au juste? L’excitation de faire ce qu’on n’a pas le temps de faire en semaine? Faire le ménage et la popotte? Oh oui, j’suis tellement toute excitée, dis-je sur mon ton sarcastique et optimiste. Je dis optimiste car je sais que rendu au dimanche soir il va me rester des trucs à faire sur ma « to do list ».

Quoi qu’il en soit, je prends quand même du temps pour ralentir ma cadence, écouter une chaîne de jazz en direct sur YouTube. En tout cas ce matin c’est du jazz. Et je revois mes plans de la journée en sachant pertinemment qu’il y aura sûrement des modifications en cours de route. Rien n’est acquis dans la vie. Ni la vie, ni le ménage fait, ni ses plans de journée.

Je bois donc mon café à notre santé, à notre vie.

Simplement Mau

« Chin chin café  » du samedi matin

Pensée du 4 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

En général les vendredis s’annoncent plus joyeux que le reste de la semaine. Même si en se réveillant on se demande si on n’est pas déjà en congé.

Un voile gris s’étend malgré les quelques filets nuageux. (Bin oui, encore les yeux au ciel)

Je fais maintenant parti de ce monde rivé aussi sur leur portable… écriture oblige. J’écrirais bien avec un crayon et papier, mais vu l’état des rues et boulevard en ville, je ne suis pas convaincue que j’y arriverais.

Ce matin, j’ai un léger retard sur mon départ. L’ambiance est déjà différente, par les passagers du transport en commun ainsi que le levé du soleil.

Habituellement je laisse mes cheveux choisir leur état du jour, mais ce matin j’ai dit « c’est assez! » J’ai pris le contrôle avec un fer à friser. Oui oui, à friser. Je ne suis pas déçue du résultat, par contre je me suis trouvé courageuse de tenter une nouveauté sans préalablement tester.

Simplement Mau

Ce à quoi mon toupet ressemblait ce matin. Bon, ok, la comparaison est un peu « tiré par les cheveux « …

Pensée du 3 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Je regarde très souvent le ciel, en marchant, en attendant l’autobus,  en regardant par la fenêtre au bureau, etc.

Le matin tôt,  avant que le soleil ne se pointe, il m’est difficile de voir les étoiles à cause de la pollution lumineuse. Ce qui m’a fait penser que souvent ce qui est artificiel, quoi que souvent pratique,  nous empêche de savourer ce qui est naturel. Ici je parle du ciel, mais mes dires peuvent se conjuguer à presque toutes les sauces.

Bon, revenons à mon ciel.

Je ne sors pas souvent de la ville, et la dernière fois que j’ai vu le ciel étoilé avec moins de pollution lumineuse, avant la pandémie, j’en étais étourdie de voir un si beau ciel. (Je ne comprend pas le monde qui ne regarde pas au-dessus de leur tête).

(Mon fil d’idées vient d’être interrompu par une dispute au sujet de sièges dans l’autobus,  merci à la dame qui s’est assise entre les 2 protagonistes,  pour y mettre fin, tel une mère séparant 2 enfants, qui dans ce cas-ci sont adultes)

Bon, revenons à mon ciel. (Encore)

Je pourrais m’étendre au sol et regarder le ciel pendant des heures,  même étendue sur du gravier (fait vécu).

Simplement Mau

Tentative de capture de beauté céleste

Pensée du 2 novembre 2022

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Souvent en sortant de chez moi au moment de l’année où l’obscurité disparaît plus tard,  la lourdeur de la nuit se fait sentir et la nostalgie du demi sommeil matinal coincé dans les couvertures, me pèse.

Mais de voir l’état brumeux de mon trajet pédestre me permet de voyager mentalement dans des contrés mystiques et lointaines.

Je réalise aussi que par moment,  mes pensées ont cet état, surtout lorsque je me sens enchaînée dans une cage de train-train quotidien.

Ce matin je ressens un calme intérieur et je me permet de m’attendre à une surprise féérique.

Simplement Mau

Un matin de novembre

Propulsé par WordPress.com.

Retour en haut ↑