Bulle pensée à ma table en dégustant mon café du matin

Le changement d’heure. Mis à part que la majorité des médias nous relatent l’histoire et nous disent comment cela nous affecte (2 fois par année) , pourquoi continuons-nous?

Où se trouve la « cancel culture » pour se rendre utile pour une fois? Car oui, il y a des trucs dans l’histoire de l’humanité qui ne sont pas trop humains, mais j’ai souvent l’impression que leur plaisir est d’effacer des gens, plutôt que de « vraiment » changer le monde pour le mieux.

Ça fait presque un demi siècle que je n’entend que du négatif au sujet du changement d’heure, on devrait trouver le moyen d’arrêter ça.  J’ignore à moi seule comment faire, mais puisque ce n’est qu’une forme de coutume,  on devrait y arriver, non? S’ils ont réussi à confiner le monde entier pendant près de 2 ans, je ne verrais pas ce qui les empêcherait d’abolir ce foutu changement d’heure.

Simplement Mau

Bulle pensée à ma table en dégustant mon second café du matin

Quand nous étions plus jeunes ( genX ne sont pas si vieux, on est encore jeunes, ça dépend des matins), on était heureux d’arriver au week-end. Ça voulait dire grasse matinée ( ou est-ce grâce matinée), sortir avec les ami-e-s, etc. Maintenant on se dit « enfin le week-end  » mais à part de ne pas être à la course pour se préparer pour le travail, on est heureux de quoi au juste? L’excitation de faire ce qu’on n’a pas le temps de faire en semaine? Faire le ménage et la popotte? Oh oui, j’suis tellement toute excitée, dis-je sur mon ton sarcastique et optimiste. Je dis optimiste car je sais que rendu au dimanche soir il va me rester des trucs à faire sur ma « to do list ».

Quoi qu’il en soit, je prends quand même du temps pour ralentir ma cadence, écouter une chaîne de jazz en direct sur YouTube. En tout cas ce matin c’est du jazz. Et je revois mes plans de la journée en sachant pertinemment qu’il y aura sûrement des modifications en cours de route. Rien n’est acquis dans la vie. Ni la vie, ni le ménage fait, ni ses plans de journée.

Je bois donc mon café à notre santé, à notre vie.

Simplement Mau

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

En général les vendredis s’annoncent plus joyeux que le reste de la semaine. Même si en se réveillant on se demande si on n’est pas déjà en congé.

Un voile gris s’étend malgré les quelques filets nuageux. (Bin oui, encore les yeux au ciel)

Je fais maintenant parti de ce monde rivé aussi sur leur portable… écriture oblige. J’écrirais bien avec un crayon et papier, mais vu l’état des rues et boulevard en ville, je ne suis pas convaincue que j’y arriverais.

Ce matin, j’ai un léger retard sur mon départ. L’ambiance est déjà différente, par les passagers du transport en commun ainsi que le levé du soleil.

Habituellement je laisse mes cheveux choisir leur état du jour, mais ce matin j’ai dit « c’est assez! » J’ai pris le contrôle avec un fer à friser. Oui oui, à friser. Je ne suis pas déçue du résultat, par contre je me suis trouvé courageuse de tenter une nouveauté sans préalablement tester.

Simplement Mau

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Je regarde très souvent le ciel, en marchant, en attendant l’autobus,  en regardant par la fenêtre au bureau, etc.

Le matin tôt,  avant que le soleil ne se pointe, il m’est difficile de voir les étoiles à cause de la pollution lumineuse. Ce qui m’a fait penser que souvent ce qui est artificiel, quoi que souvent pratique,  nous empêche de savourer ce qui est naturel. Ici je parle du ciel, mais mes dires peuvent se conjuguer à presque toutes les sauces.

Bon, revenons à mon ciel.

Je ne sors pas souvent de la ville, et la dernière fois que j’ai vu le ciel étoilé avec moins de pollution lumineuse, avant la pandémie, j’en étais étourdie de voir un si beau ciel. (Je ne comprend pas le monde qui ne regarde pas au-dessus de leur tête).

(Mon fil d’idées vient d’être interrompu par une dispute au sujet de sièges dans l’autobus,  merci à la dame qui s’est assise entre les 2 protagonistes,  pour y mettre fin, tel une mère séparant 2 enfants, qui dans ce cas-ci sont adultes)

Bon, revenons à mon ciel. (Encore)

Je pourrais m’étendre au sol et regarder le ciel pendant des heures,  même étendue sur du gravier (fait vécu).

Simplement Mau

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Souvent en sortant de chez moi au moment de l’année où l’obscurité disparaît plus tard,  la lourdeur de la nuit se fait sentir et la nostalgie du demi sommeil matinal coincé dans les couvertures, me pèse.

Mais de voir l’état brumeux de mon trajet pédestre me permet de voyager mentalement dans des contrés mystiques et lointaines.

Je réalise aussi que par moment,  mes pensées ont cet état, surtout lorsque je me sens enchaînée dans une cage de train-train quotidien.

Ce matin je ressens un calme intérieur et je me permet de m’attendre à une surprise féérique.

Simplement Mau

Pensée bulle personnelle pendant mon trajet du matin en autobus.

Il m’est parfois difficile d’écrire mes pensées car trop fluide éthériquement parlant, et trop rapide pour traduire en mots. Est-ce que vos pensées sont imagées, verbales, ou par « feeling » ?
Je vis les 3, séparément ou en simultané.

Je ne peux pas toujours choisir, mais mon cérébral interne est toujours en fonction. Mon cérébral de tête mais aussi celui du coeur. Bon, je peux entendre des commentaires du genre « cérébral de coeur ça s’peut pas ». Pourtant c’est la seule façon que j’arrive à le verbaliser.

En parlant de mon intérieur, qui est une forme d’information, car le « in » de « information » signifie sûrement le formatage intérieur. La désinformation, la désintégration de ce formatage spécifique. Donc le formatage est une manipulation. Qui dit manipulation, dit « pas nécessairement véridique « .

Simplent Mau

Pendant mon trajet du matin en autobus

L’univers

Chaque chose en son temps.  Chaque chose a son temps. Rien n’arrive pour rien. Chacun a sa raison d’être,  sa mission. Nous ne sommes qu’un grain de sable dans cet univers,  et pourtant nous sommes si spéciaux,  individuellement et sociétairement, que parmi nous, la divinité a choisi un peuple plus qu’un autre, un prophète plutôt qu’un autre.  Pourtant selon cette philosophie il aurait tout créé. Certains diront que c’est le diable qui bousille tout. Pourtant lui aussi serait créé de toute pièce par voie divine. De toute façon ne dit-on pas que dieu est partout et en tout?
Suis-je croyante? Oui
Suis-je aveugle ? Je travaille là-dessus.

Quelle évolution atteignons-nous en tant qu’êtres divins et suprêmes que nous sommes, à suivre des règles d’hommes dans un livre, lorsque le saint esprit a la force, la puissance et la capacité de nous atteindre chacun,  autant que nous sommes ?

Oui on se doit d’être réceptifs.  Encore faudrait-il se rendre responsables de nos choix et les conséquences. Le vrai libre arbitre. Sommes-nous éphémères ou éternels ? Est-ce vraiment important pour nos décisions ?
Ne devrions-nous pas faire de notre mieux pour vivre notre sentence terrestre le plus harmonieusement possible ?

J’ai perdu le rythme d’écriture, et pourtant j’ai tellement de choses à dire. C’est peut-etre ca mon probleme, j’en ai trop, les idées et les envies se poussent les unes les autres. Alors au final rien ne sort. 

Lorsque je rencontrais des gens passionnés pour mes​ entrevues​ vidéos sur YouTube, mes « Chin Chin Cafe », je cherchais à les faire parler de leur passion, que ce soit artistique, littéraire ou autre. C’était ma passion, pour encourager les auditeurs à trouver leur passion. Laissez-moi vous dire que dernièrement je me suis découvert une passion: la chiromancie. 

Mis à part le côté divinatoire,  saviez-vous que l’on peut y lire la personnalité et/ou le caractère d’une personne ? Fascinant !

Ne vous inquiétez pas,  je ne vous ferai pas une lecture, j’en suis encore à décortiquer ma propre main. Y découvrir mes points forts et mes lacunes… sans me raconter d’histoire. Une façon simple de faire mon shadow work . (Faire le ménage des coins sombres de ma conscience, ou faire face à mes démons entre autres).

L’important pour nos passions est de s’amuser,  même sérieusement. 

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Mau